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L’URML Normandie est confrontée, chaque jour, à des interrogations des praticiens de terrain sur la prise en charge de l’infection à COVID-19, la vaccination, etc.
Mobilisée depuis le début de l’épidémie, l’URML Normandie participe de manière quotidienne aux cellules de crise de l’ARS Normandie et relaie les interrogations en concertation avec la Direction Générale de la Santé et le Ministère de la Santé. Elle a pour mission de vous informer sur la marche à suivre en région concernant le COVID-19. Attention, les consignes changent quotidiennement.
Nous vous invitons à consulter régulièrement notre site internet et à vous inscrire à nos communiqués par mail en vous inscrivant à contact@urml-normandie.org
Pour toute question, nous avons créé une boîte mail spécifique sur laquelle vous pouvez nous contacter : urml.covid@urml-normandie.org
Vous pouvez également vous inscrire directement dans le formulaire figurant ci-dessous.
N’hésitez pas également à nous transmettre toutes vos interrogations.
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COVID-19 Grâce à votre mobilisation, la Normandie est l’une des régions où l’on vaccine le plus. Merci ! – Communiqué N°35 – 18 mai 2021
Grâce à votre mobilisation, la Normandie est l’une des régions où l’on vaccine le plus. Merci !
33.67% de la population a reçu au moins une dose de vaccin en Normandie.
Les médecins vont pouvoir commander, via leur officine de rattachement, jusqu’à ce soir 23h, du Moderna et du Janssen.
Si vous rencontrez des difficultés dans le cadre de ces commandes, n’hésitez pas à nous en faire part.
COVID-19 – La vaccination reste le seul levier pour sortir de cette épidémie – Communiqué N°34 – 9 avril 2021
14.65% de la population a reçu au moins une dose de vaccin. Les livraisons dans les prochaines semaines restent du Pfizer, même si AstraZeneca va refaire son apparition dès la semaine prochaine et que Janssen devrait probablement faire son entrée en Normandie dès ce mois d’Avril. Voici le décor de la stratégie vaccinale normande.
La vaccination reste le seul levier pour sortir de cette épidémie, en stoppant notamment la multiplication des variants du Covid-19.
La nouvelle du jour de la HAS reste quand même : pas de 2ème dose avec AstraZeneca pour les moins de 55 ans. La 2ème dose se fera avec Moderna ou Pfizer en respectant un délai de 12 semaines entre la 1ère et la 2ème dose.
COVID-19 – Seine-Maritime et Eure reconfinées – Communiqué N°33 – 22 mars 2021
La Seine-Maritime et l’Eure ont vécu leurs premières heures d’un « reconfinement ». L’AstraZeneca est revenu dans la course de la vaccination.
Et après avoir déprogrammé, il faut reprogrammer, avec un nombre de doses réduit jusqu’à début avril 2021…
Le tableau global est loin d’être satisfaisant en terme de stratégie vaccinale mais la vaccination reste le seul levier pour sortir de cette épidémie.
En Normandie, du 7 au 13/03, 49,7 % des tests de première intention positifs (test RT-PCR et antigéniques) ont été associés à un test de criblage. Parmi eux, 72,5 % correspondaient à une suspicion de variant britannique (les départements 27 et 76 au-delà de 70% – contre 71,4 % au national) et 2,5 % à une suspicion de variant Sud-africain ou brésilien (au-delà de 10% dans la Manche – 5% au national).
Concernant la stratégie vaccinale, la HAS a défini dans son avis la recommandation suivante :
- compte tenu du déroulement de la campagne vaccinale, qui va concerner au cours des 2 prochains mois les populations âgées, la HAS recommande à ce stade d’utiliser le vaccin AstraZeneca pour les personnes âgées de 55 ans et plus, qui constituent la très grande majorité des personnes prioritaires actuelles ;
- dans l’attente de données complémentaires, la HAS recommande donc d’utiliser les vaccins à ARNm chez les personnes éligibles à la vaccination âgées de moins de 55 ans.
COVID-19 – Suspension du Vaccin Astra Zeneca – Communiqué N°32 – 15 mars 2021
Chers amis,
Suite à la décision du Président de la République de suspendre l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca, nous vous demandons d’annuler aujourd’hui et demain toutes les vacations prévues pour cette vaccination, et ce, en attendant la décision de l’Agence Européenne des Médicaments.
Les informations changeant très rapidement, restez connectés !
Dr Antoine LEVENEUR
Président de l’URML Normandie
COVID-19 – Courrier du DG ARS aux URPS Médecins libéraux et pharmaciens d’officine – Communiqué N°31 – 12 mars 2021
Chers amis,
Veuillez trouver ci-après un courrier adressé par le Directeur Général de l’ARS Normandie, M. Thomas Deroche, à tous les médecins libéraux et pharmaciens d’officine de Normandie.
Dr Antoine LEVENEUR
Président de l’URML Normandie
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De: ARS-NORMANDIE-DIRECTION-GENERALE
Objet: ARS NORMANDIE : Vaccination
Date: 12 mars 2021 à 18:12:31 UTC+1
À: Antoine Leveneur, Andre Geara
Mesdames et Messieurs les médecins libéraux et pharmaciens d’officine de Normandie,
Depuis janvier 2021, grâce à votre investissement aux côtés des établissements de santé et des établissements médico-sociaux, plus de 380 225 injections ont été assurées au 11 mars 2021, plaçant la région parmi les trois régions ayant le plus fort taux de vaccination par habitant.
En ville, les médecins généralistes, approvisionnés en vaccins par les pharmaciens d’officine, ont déjà pu réaliser 30 918 1ères injections de vaccin AstraZeneca. A leur tour, les pharmaciens se voient ouvrir la possibilité d’injecter ce vaccin au sein de leur officine, contribuant ainsi à faciliter l’accès à la vaccination aux côtés des médecins et des sages-femmes.
Comme vous l’a indiqué Monsieur le Ministre de la santé dans le courrier adressé ce jour, en raison du retard dans la chaîne logistique du laboratoire AstraZeneca, les niveaux de livraison de vaccins qui étaient prévus ne seront pas intégralement honorés la semaine prochaine et les deux suivantes.
Pour la semaine prochaine, les livraisons n’auraient pas permis d’assurer un flacon par médecin. Dans ces conditions, pour limiter autant que possible les reports de vaccinations déjà programmées par des médecins généralistes pour la semaine du 15 mars, l’ARS invite les médecins et les pharmaciens à s’organiser localement pour trouver des solutions au bénéfice des patients concernés.
Les pharmaciens pourront par exemple remettre aux médecins les flacons reçus en surnuméraire lors de la 1ère livraison de vaccins AstraZeneca en officine et/ou mettre à disposition des médecins traitants un ou deux flacons reçus et les médecins pourraient orienter les patients concernés vers les officines ou vers les centres de vaccination, qui peuvent réserver des plages à cet effet.
Pour la suite, à savoir la semaine du 22 mars, la réservation de doses par les médecins généralistes sera ouverte dès le début de la semaine prochaine et nous vous communiquerons au fur et à mesure toutes les informations concernant les futures livraisons pour vous permettre de vous organiser.
Les services de l’ARS restent à vos côtés et à votre disposition pour faciliter les collaborations interprofessionnelles indispensables à l’accélération de la vaccination de la population.
Avec mes remerciements pour votre investissement collectif au service de la vaccination des Normands,
Thomas Deroche
Directeur Général
COVID-19 – La Normandie fait figure de bonne élève dans cette vaccination et ceci grâce à vous sur le terrain – Communiqué N°30 – 12 mars 2021
Vous êtes en train de lire la 30ème e-letter Covid-19 de l’URML Normandie. 6.47% de la population française a reçu au moins une dose de vaccin, 3.12% ont reçu deux doses. Le chemin est donc encore long. La Normandie fait figure de bonne élève dans cette vaccination et ceci grâce à vous sur le terrain. Merci !
La gestion de cette campagne de vaccination reste toujours très chaotique. Les dernières annonces gouvernementales ne sont toujours pas digérées, notamment le DGS Urgent de dimanche soir dernier qui est dans le fond et la forme totalement scandaleux : nous empêcher brutalement de vacciner les patients pour que les pharmaciens puissent le faire reste inacceptable.
Vous pourrez trouver le courrier du Ministre des Solidarités et de la Santé qui est adressé à tous les médecins et vous noterez qu’il annonce un déficit de livraison des vaccins AstraZeneca jusqu’à la fin du mois de mars …
Pour autant, la ville et l’hôpital continuent de s’organiser pour offrir à nos patients la meilleure prise en charge possible. Vous trouverez ainsi dans cette e-letter deux documents travaillés en région : l’actualisation de la fiche d’aide à la décision des vaccins et la fiche concernant les anticorps monoclonaux.
Vous devez savoir que cette semaine a vu la situation épidémiologique se dégrader très sensiblement en Normandie tant du point de vue de l’incidence que dans les tensions hospitalières, réanimation …
COVID-19 – Commande de vaccins – C’est inacceptable !! – Communiqué N°29 – 8 mars 2021
Le DGS-URGENT N°2021_26 adressé à tous les médecins libéraux le 7 mars à 22h est téléchargeable ICI
« A noter que pour la semaine du 8 mars, la commande ne sera ouverte que pour les besoins propres des officines, il ne sera pas possible de prendre des commandes pour les médecins compte tenu du nombre de doses livrées par AstraZeneca (environ 28 000 flacons disponibles à la commande). »
C’est inacceptable !!
COVID-19 – 5,8% de la population normande a, à ce jour, reçu au moins une dose – Communiqué N° 28 – 1er mars 2021
5,08 % de la population normande a, à ce jour, reçu au moins une dose.
Depuis le 25 février, le vaccin AstraZeneca est utilisé dans les cabinets de ville. La stratégie vaccinale évolue sans cesse…L’isolement est dorénavant porté à 10 jours pour toute personne testée positive compte tenu de l’évolution des variants.
Le taux d’incidence régional repart à la hausse pour atteindre 150 ,7 (contre 132,7 le 16/02). Une tendance qui s’observe notamment dans les départements de la Seine-Maritime (+38 points), du Calvados (+ 30 points) et de l’Eure (+15 points). 148 clusters sont en cours d’investigation dont 49 en EHPAD et 29 en établissements de santé.
L’émergence des variants accroît le risque de contamination. En Normandie, sur la semaine du 14/02 au 20/02, les RT-PCR de criblage réalisées sur les cas positifs révèlent, 44,5% de suspicion du variant anglais et 5,6% de suspicion du variant Sud-Africain ou Brésilien (données Santé Publique France).
Tout test anti-génique donnant lieu à un résultat positif fait désormais obligatoirement l’objet d’une RT-PCR de criblage en seconde intention, afin de déterminer s’il s’agit d’une contamination par un variant. Si Test RT-PCR initial, le criblage sera fait directement à partir de ce seul prélèvement.
COVID-19 – 3 vaccins sont disponibles en Normandie : AstraZeneca, Moderna et Pfizer – Communiqué N° 27 – 15 février 2021
A ce jour, 3 vaccins sont disponibles en Normandie : AstraZeneca, Moderna et Pfizer. Ils sont disponibles dans les centres de vaccination, en établissement, et dans le cadre d’équipes mobiles organisées par l’ARS en lien avec l’URML Normandie et l’URPS IDEL.
4,14% de la population normande a, à ce jour, reçu au moins une dose. La campagne vaccinale dans les EHPAD montre que 93,5% des résidents dans l’Orne ont reçu au moins une dose de vaccin (90,6% dans le Calvados et 84,8% en Seine-Maritime).
Conformément aux recommandations du 2 février 2021de la Haute autorité de santé (HAS), il a été décidé qu’à compter du 25 février 2021, le vaccin AstraZeneca sera utilisé pour la vaccination des personnes de 50 à 64 inclus atteintes de comorbidités dans les cabinets de ville.
Les médecins de ville auront dès lors la possibilité de vacciner leur patientèle dans la cible précitée avec le vaccin AstraZeneca.
Dès à présent, chaque médecin doit aller s’identifier auprès de l’officine de son choix pour déclencher la commande et la livraison à partir du 22 février.
La semaine du 22 février, chaque médecin disposera d’un seul flacon lors de la première livraison (semaine du 22 février), et de 2 ou 3 flacons maximum pour la deuxième livraison (semaine du 1er mars) en fonction de la consommation et du nombre de doses livrées. Chaque flacon contient 10 doses de vaccin, prêtes à l’emploi.
Les volumes disponibles augmenteront très progressivement à compter du mois de mars, dans des proportions encore à préciser.
Retrouvez donc dans cette e-letter les modalités pratiques de cette mise à disposition: Où ? Quand ? Comment ? … et toutes les dernières informations.
COVID-19 – Complexité de la vaccination – Communiqué N° 26 – 3 février 2021
La Normandie a connu, comme toutes les autres régions la complexité de la vaccination entre le délai de 28 jours, le gel des primo-vaccinations jusqu’à mi-février, l’approvisionnement en vaccin, l’indemnisation des médecins remplaçants et retraités…
A ce jour, 3.02% de la population normande a été vaccinée partiellement ou totalement.
Nous sommes la 2ème région au prorata de la population.
A partir de la semaine prochaine, les vaccins Moderna et AstraZeneca devraient arriver tout doucement en Normandie. Il faut s’attendre dès le mois de mars à une augmentation de la dotation des vaccins en Normandie.
Merci encore à vous tous pour votre implication indispensable en Normandie !
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COVID-19 – Vaccination, Normandie The First !! – Communiqué N° 25 – 19 janvier 2021
La Normandie est bien partie dans la vaccination et se classe toujours 1ère du nombre de personnes vaccinées au prorata de la population (35 905 vacciné(e)s / 1.09% de la population normande).
Après une forte augmentation, le taux d’incidence régional reste stable. Il enregistre une légère baisse pour atteindre 164,6 (contre 166,6 le 12/01). Néanmoins, les taux d’incidence de la Manche et de la Seine-Maritime augmentent.
Les vaccinations en EHPAD dans les départements de l’Orne, de la Seine-Maritime et de l’Eure se sont bien déroulées et nous tenons à vous remercier pour votre engagement et votre mobilisation.
La difficulté à ce jour est la disponibilité des doses pour la vaccination compte tenu du plan de livraison européen et français.
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COVID-19 – Kit pour la vaccination – Communiqué N°24 – 13 janvier 2021
La Normandie est bien partie dans la vaccination et se classe 1ère proportionnellement au nombre d’habitants de personnes vaccinées (15 645 personnes parmi les publics prioritaires, soit 474 pour 100 000 habitants). Nous pouvons nous féliciter de la mobilisation des médecins généralistes dans tous les territoires. Merci !
Les plus de 75 ans sont les prochains dans la campagne de vaccination et il faut s’attendre à une accélération des différentes phases initialement prévues par la HAS. Dès le 18 janvier, nos organisations vont devoir s’adapter pendant des semaines et des mois (dont déprogrammations de consultations de médecine générale). Nous devons vacciner un maximum de patients le plus rapidement possible tout en évitant le gaspillage des doses.
Comme vous le savez, le vaccin Moderna Covid-19 mRNA a obtenu l’AMM européenne. La HAS a actualisé en ce sens ses recommandations. Pour autant, ce vaccin ne sera pas disponible tout de suite en Normandie, étant prioritairement acheminé vers les 4 régions les plus touchées à ce stade par la Covid-19.
Vous trouverez dans cette e-letter le kit le plus complet pour les médecins en centre de vaccination et en EHPAD.
Le Ministère et la CNAMTS doivent rendre des arbitrages dans les heures qui viennent concernant les médecins retraités et médecins remplaçants, notamment, concernant leurs rémunérations. Nous vous tiendrons informés.
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COVID-19 – Webinar Vaccination COVID-19 – Communiqué N°23 – 7 janvier 2021
Si vous n’avez pas pu assister au Webinar Vaccination COVID-19 du 5 janvier ou vous souhaitez le revoir, le replay est désormais disponible sur notre chaîne Youtube.
Attention, les données présentées sont celles de ce début janvier et sont amenées à évoluer.
Vous trouverez ci-après les différents liens organisés par chapitre.
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COVID-19 – Mobilisation de la médecine libérale – Communiqué N°22 – 11 décembre 2020
La médecine libérale va se trouver mobilisée sur plusieurs mois dès janvier 2021 dans la région comme ailleurs.
La question sur la table est assez simple: comment la profession s’organise pour vacciner la population normande ?
Si la question est simple, les réponses organisationnelles sont loin de l’être.
Ce sujet préoccupe l’URML Normandie depuis des semaines, et ces jours-ci l’ARS nous a sollicité « afin que vous puissiez d’ores et déjà recenser les médecins libéraux qui pourraient être mobilisés ». La position de l’URML Normandie à ce jour, connue du ministère, de la commission interparlementaire, de l’ARS, des Préfets, des collectivités territoriales, est la suivante :
1- la médecine libérale répondra présente et s’engagera
2- si deux conditions sont réunies :
- Accès à une information claire, transparente sur ces vaccins (effets 2nd, accidents, ci, etc.,mais aussi
durée de l’immunité acquise par la vaccination, etc.) - Statut juridique et assurantiel protecteur pour cette mission de service public à risque.
3- pour les différentes phases de vaccination, nous proposons pour :
- Ehpad, USLD, résidences services etc. : 1 organisation territoriale avec engagement des médecins libéraux et ide le cas échéant.
- Patients chroniques, ald, comorbidités : le mieux serait sans doute de pouvoir disposer de flacons unidoses délivrés par les officines et vaccination par nous dans nos cabinets, PSLA, MSP, etc.
- Le reste de la population ( 2nd semestre 2021 ) : une organisation en binôme avec IDE dans des lieux dédiés sous la responsabilité de l’état: organisation administrative, systèmes d’information
- + traçabilité avec amelipro, filières dasri, nettoyage etc…
4- tout cela dépendra bien sûr de la logistique, chaînes du froid, disponibilité des stocks sur le terrain, flaconnage, donc tout ce qui revient aux pouvoirs publics, et là force est de constater que nous ne sommes pas en zone de confort…
Enfin, nous rappelons sans cesse à tous nos interlocuteurs que cette vaccination de masse sera productive si les médecins sont convaincus eux-mêmes de la nécessité de vacciner.
COVID-19 – La vigilance est de mise – Communiqué N°21 – 27 novembre 2020
L’amélioration des indicateurs de suivi épidémiologiques se confirme en Normandie : le pic de la seconde vague a été atteint, mais la vigilance reste plus que jamais de mise au vu de la mobilisation très forte du système de santé qui persiste et de la réouverture des commerces ce week-end.
La déprogrammation engagée dans les établissements de santé sera levée lundi et ces derniers devront adapter leurs programmes opératoires selon leurs besoins et les tensions observées.
Le taux d’incidence continue de baisser et atteint 135,77 pour 100 000 habitants (contre 164,16 le 17/11). Une diminution du taux d’incidence des 65 ans et plus est également observé.
Toutefois, des disparités départementales persistent, notamment dans l’Orne et la Manche où les hospitalisations ne baissent pas aussi rapidement qu’ailleurs.
Dans les EHPAD, qui restent fortement impactés par la COVID-19 (sur 211 clusters en région, 111 concernent des EHPAD), les consignes relatives aux visites et aux mesures de protections vont être renforcées conformément aux recommandations nationales (dépistage hebdomadaire des professionnels par tests antigéniques, évolution du cadre des visites, recommandation de dépistage pour les proches avant visites, etc.).
« La » stratégie des tests, le vaccin contre la grippe, le vaccin contre la Covid-19, la campagne de dépistage massif sur le Havre et sa communauté urbaine du 14 au 19 décembre… les actualités bougent beaucoup ces dernières semaines.
COVID-19 – Principes de mise en œuvre des Centres Covid-19 – Communiqué N°20 – 16 novembre 2020
En Normandie, le taux d’incidence reste très élevé et largement au-dessus du seuil d’alerte, à 269,7 pour 100 000 habitants (contre 319,42 le 10/11).
Après des semaines d’accélération, l’incidence observe un retrait au cours des derniers jours. Il faut cependant rester prudent, cette évolution devra se poursuivre plusieurs jours pour être confirmée.
Aujourd’hui, le nombre de personnes hospitalisées atteint 1392 (près du double du pic d’avril) dont 167 en réanimation : un nombre comparable au niveau maximum atteint au printemps en réanimation (175 patients normands en réanimation au 07/04, auxquels s’ajoutaient 50 transferts des autres régions).
Dans le même temps que ce constat, beaucoup d’éléments d’actualité cette semaine : les nouvelles recommandations du Ministère, la stratégie de tests, …
Par ailleurs, le Ministère vient de sortir auprès des ARS les principes de mise en œuvre des Centres Covid-19 à adapter au niveau régional. N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des idées dans vos territoires. Ces centres seront en effet cartographiés par l’Agence et c’est cette cartographie qui servira de base aux CPAM pour permettre les actes dérogatoires.
COVID-19 – Nous sommes désormais en re-confinement – Communiqué N°19 -30 octobre 2020
Nous sommes désormais en re-confinement. Pour autant, les cabinets médicaux restent ouverts et c’est un message indispensable aux patients pour éviter les ruptures de soins constatées lors de la première vague. En effet, le retard pris dans la déprogrammation n’a pas encore été rattrapé.
Nous espérons que la communication gouvernementale se poursuivra dans ce sens.
Comme la plupart des régions, la Normandie connait une augmentation rapide et très significative de la circulation de la Covid-19.
Le taux d’incidence a augmenté de plus de 100 points au cours des deux dernières semaines et est ainsi passé de 152,75 le 16/10 à 269,53 le 27/10. Ce taux chez les + de 65 ans continue de progresser pour atteindre 285,9 le 30/10 (contre 168,4 le 23/10).
La tension sur les lits de réanimation et d’hospitalisation conventionnelle, et sur les ressources humaines, s’est accentuée au cours des derniers jours. Le nombre des hospitalisations (conventionnelle et réanimation) a dépassé le niveau le plus haut observé lors de la 1ère vague (743 le 10/04) avec 945 personnes hospitalisées dont 131 en réanimation au 30 octobre. Le seuil de vigilance (40%) est atteint sur les tensions hospitalières sur les lits de réanimation : il est de 44,29%.
COVID-19 – Grippe et COVID-19 – Communiqué N°18 – 9 octobre 2020
Grippe et Covid-19
Conformément à l’avis de la HAS du 20 mai 2020, la stratégie de vaccination 2020-2021 contre la grippe repose sur une priorisation de la vaccination en faveur des personnes les plus à risque de grippe sévère, ciblées dans les recommandations du calendrier des vaccinations, et qui sont aussi à risque de formes graves de COVID-19.
En conséquence, la vaccination antigrippale devra être réservée en priorité à ces personnes ciblées pendant les deux premiers mois de la campagne de vaccination qui démarre le 13 octobre 2020.
Les professionnels de santé sont également prioritaires car ils sont les piliers de la prise en charge de ces publics fragiles.
COVID-19 – Les grandes agglomérations concentrent toujours la majeure partie des cas – Communiqué N°17 – 3 octobre 2020
Le taux d’incidence, c’est-à-dire le nombre de tests positifs pour 100 000 habitants, est désormais de 78,4 (le 25/09, il était de 80 et le 18/09, de 58,25). Les grandes agglomérations concentrent toujours la majeure partie des cas et dépassent pour les plus importantes l’incidence de 100.
Le taux de positivité des tests effectués poursuit sa progression et atteint 7,42% (il était de 6,74% le 25/09, et de 5,04% le 18/09). Il est dans le seuil de vigilance, fixé entre 5 et 10%. Ceci est bien entendu à prendre en considération à la lumière du changement de stratégie des tests de dépistage.
COVID-19 – Intensification de la circulation du virus – Communiqué N°16 – 25 septembre 2020
En Normandie, les indicateurs de suivi épidémiologique témoignent d’une intensification de la circulation du virus.
Le taux d’incidence, c’est-à-dire le nombre de tests positifs pour 100 000 habitants, atteint désormais 71 en Normandie. Il dépasse largement la valeur de 50, considérée comme le seuil d’alerte, ce qui témoigne d’une circulation virale de plus en plus importante (le 18/09, il était de 58,25).
Les grandes agglomérations concentrent la majeure partie des cas et dépassent pour les plus importantes l’incidence de 100.
Ce constat nous confirme que le virus est de plus en plus actif dans la région.
COVID-19 – Verte ? Orange ? Rouge ? Quelle est la situation sanitaire en Normandie ? – Communiqué N°15 – 22 juin 2020
La réussite du déconfinement passe par une maîtrise de la circulation virale. La Normandie n’est pas épargnée par les clusters et nous devons rappeler à nos patients l’importance des gestes barrières.
Rouge, orange ou vert, nous faisons le point sur l’évolution en Normandie.
Les éléments évoluant rapidement. Restez connectés.
COVID-19 – Dépister, Tracer, Isoler – Communiqué N°14 – 18 mai 2020
La réussite du déconfinement passe par une maitrise de la circulation virale. A ce jour, 25 clusters ont en effet été identifiés au niveau national depuis le 11 mai.
Tout le monde est mobilisé : les préfets de département, l’agence régionale de santé, les caisses d’assurance maladie, les laboratoires d’analyses biologiques, les infirmiers libéraux, les établissements…
Comme vous le savez, les médecins traitants constituent le pivot de cette organisation voulue par le gouvernement, adoptée par le parlement, « toilettée » par le conseil constitutionnel.
Les éléments évoluant rapidement. Restez connectés.
Bonne semaine, restez vigilants et n’hésitez pas à nous contacter.
COVID-19 – 11 mai, stratégie de déconfinement et loi d’urgence sanitaire – Communiqué N°13 – 11 mai 2020
11 mai, stratégie de déconfinement et loi d’urgence sanitaire
Que doivent savoir aujourd’hui les médecins libéraux ?
Le projet de loi prorogeant l’état d’urgence sanitaire a été adopté par le parlement dans la soirée du 9 mai 2020. Bien lire le Chapitre II Art 6.
A ce jour, tout n’est pas totalement clair, ne serait-ce que parce qu’un certain nombre de dispositions renvoie à des décrets d’application en Conseil d’Etat (attendus rapidement dans les heures ou jours qui viennent).
EN PRATIQUE
Un médecin traitant voit en consultation un patient suspect d’infection covid.
Il prescrit un test PCR, des masques, un ou plusieurs arrêt(s) de travail selon le foyer, et isolement.
Si le test est positif, ou en cas d’éléments probants de diagnostic clinique (cas « covid clinique ») ou d’imagerie (TDM), éléments précisés par le décret en CE: le médecin traitant doit transmettre obligatoirement les données du patient à l’autorité sanitaire par le biais de « contact-covid » sur le site Amelipro de l’assurance-maladie.
Le médecin traitant est invité à recenser les membres de la famille du patient «covid» et transmettre les données à «contact-covid» sur Amelipro. Cette déclaration déclenche la prescription de tests virologiques, de masques et d’arrêts de travail.
A NOTER
- la transmission des données peut se faire sans le consentement du patient, les données seront gardées 3 mois après leur collecte.
- le secret professionnel est étendu exceptionnellement aux personnes ayant accès à ces données.
- l’application sur smartphone à destinée du grand public type « stop-covid » est abandonnée.
Restez vigilants et n’hésitez pas à nous contacter
COVID-19 – Le 11 mai, un pari …? – Communiqué N°12 – 28 avril 2020
Edito du Dr Antoine LEVENEUR, Président de l’URML Normandie
Le 11 mai, un pari …?
Préparer le déconfinement et la reprise d’activités.
La faible circulation virale dans la population et l’absence de vaccin excluent aujourd’hui l’espoir d’une immunité collective.
Il s’agit donc de favoriser une circulation virale maîtrisée par le biais d’un déconfinement progressif.
Ce déconfinement débute le 11 mai et s’étalera sur des semaines, entrecoupé de possibles périodes de reconfinement.
L’enjeu, tout en contrôlant l’épidémie, est de préparer la reprise d’activités et de prévenir les pertes de chances pour des patients craintifs, dissuadés par une communication gouvernementale souvent pernicieuse… (« restez chez vous, ne vous rendez pas chez votre médecin »).
Il faudra pendant de longs mois prendre en compte l’exigence de sécurité liée à un virus toujours présent, tout en remettant les patients dans le circuit des soins pour leur éviter tout renoncement aux soins, retards de diagnostic et de prise en charge, perte de chance.
Mais les pouvoirs publics savent-ils où ils vont ?
La médecine libérale sait où elle va.
- Elle a su s’adapter très rapidement, organisant des flux dédiés de façon spatiale ou de façon temporelle.
Cette double organisation pour les consultations s’articule avec différents outils de télémédecine et visites à domicile pour les plus fragiles.
Les médecins généralistes et les médecins spécialistes recontactent les patients porteurs de pathologie chronique. Ne pas laisser cette population sur le bord du chemin.
Mais soyons clairs : les patients ne reprendront le chemin des cabinets que s’ils se sentent sécurisés.
Les pouvoirs publics sont-ils en capacité de délivrer des masques, de mettre en place des dépistages et faire réaliser des tests par les généralistes ?
- Les médecins libéraux des établissements privés et des plateaux techniques sont prêts à retravailler.
Il faut penser la reprogrammation des consultations, des examens complémentaires (imagerie), des interventions endoscopiques ou chirurgicales.
Il est demandé d’ores et déjà de prioriser les patients les plus urgents à prendre en charge avec une file active qui va inexorablement s’allonger au fil des semaines et des mois…
Nous connaissons les facteurs limitants de cette reprise d’activité en établissement, et c’est bien malheureusement la limitation des moyens qui va dicter la stratégie :
- déficit d’équipement de protection,
- pénurie de molécules de bloc ou de réa (comme curares, propofol, midazolam) avec visibilité des stocks à 15 jours et gestion de ceux-ci par le ministère, (la Normandie n’est pas une région prioritaire),
- chambres individuelles exclusives,
- absentéisme du personnel,
- nécessité de sanctuariser le flux covid, etc.
L’URML Normandie travaille avec l’ARS et les fédérations hospitalières sur cette préparation de reprise d’activités, qui ne doit pas obéir aux seules logiques administratives, ni être guidée par une préférence pour les hôpitaux publics et les GHT…
L’URML Normandie sera très vigilante.
COVID-19 – La vague ? – Communiqué N°11 – 4 avril 2020
La vague …?
Il semble que la Normandie reste à ce jour relativement épargnée.
Il semble que le déclenchement du confinement le 17 mars, institué à un moment où la circulation virale dans notre région était modérée, produise ses effets. Un plateau serait-il atteint ?
Mais bien évidemment, nous restons tous en alerte et maintenons un haut degré de vigilance.
Cette période est paradoxalement difficile avec une activité effondrée dans tous les cabinets des 5 départements.
L’URML Normandie reste mobilisée comme au 1er jour de cette crise afin d’apporter informations et aides à tous les médecins libéraux, et défendre leurs interêts quotidiennement auprès de l’agence régionale de santé et des pouvoirs publics.
Dans ce contexte particulier, je souhaite vous inviter à vous former et utiliser la nouvelle plateforme de télémédecine « Dr@kkar » , lancée cette semaine par l’URML Normandie. Cette plateforme indépendante mise à votre disposition est, conçue et développée, par et pour les seuls médecins libéraux de Normandie. Elle vous autorise une pratique aisée de la téléconsultation en « visio », la téléconsultation instrumentée et demain la télé-expertise.
Je vous laisse découvrir le contenu de l’ Info-URML n°11 Covid-19.
Amitiés,
Dr Antoine LEVENEUR
Président de l’URML Normandie
COVID-19 – Téléconsultations – Quelle prise en charge et comment facturer ? – Communiqué N°10 – 27 mars 2020
Les chiffres
En Normandie, 912 personnes ont été testées positives au COVID-19, et ce au 27 mars 2020 sur un total de 5 519 prélèvements (soit 16,5% de positivité).
314 personnes sont hospitalisées, dont 91 en réanimation :
- 65 personnes hospitalisées dans le Calvados
- 39 personnes hospitalisées dans l’Eure
- 25 personnes hospitalisées dans la Manche
- 15 personnes hospitalisées dans l’Orne
- 170 personnes hospitalisées dans la Seine-Maritime
Parmi elles, 25 personnes sont décédées en établissement de santé (17 hommes et 8 femmes, avec un âge médian de 80 ans).
Depuis début mars, 73 personnes sont sorties d’un établissement de santé.
Téléconsultations – Quelle prise en charge et comment facturer ?
Par ailleurs, pendant la période de l’épidémie, toutes les téléconsultations, quel qu’en soit le motif, sont prises en charge à 100 % par l’Assurance Maladie, ce qui en simplifie la facturation.
Plusieurs fiches sont à votre disposition pour vous faciliter la facturation de ce nouvel acte de téléconsultation :
- Recours à la téléconsultation dans le cadre de l’épidémie de Covid-19.
- Fiche médecins – Covid-19 : la téléconsultation simplifiée – Facturation en métropole.
- Suivi en téléconsultation d’un patient présentant une infection respiratoire
Le principe est que les mêmes majorations qui s’appliquent aux consultations en présentiel s’appliquent également aux téléconsultations (majorations week-end et jours fériés).
Le téléservice ADRi facilite la facturation de l’acte de téléconsultation, il est préconisé d’y faire appel. C’est le moyen sûr et fiable de pratiquer le tiers payant intégral.
COVID-19 – Courage, cohésion et solidarité – Communiqué N°9 – 25 mars 2020
Chers Amis,
L’évolution quotidienne de la situation épidémique nous oblige à multiplier nos envois réactualisés. Vous trouverez ci-dessous des informations les plus exhaustives possibles, à ce jour.
Courage, cohésion et solidarité
Amitiés
Dr Antoine LEVENEUR
Président de l’URML Normandie
Cas COVID-19
Classe d’âge des cas
<10 ans = 1% ; 10-19 ans = 1% ; 20-29 ans = 8% ; 30-79 ans = 87% ;
≥ 80 ans = 3%.
Symptômes par ordre de fréquence décroissant
Fièvre (83 à 98%. NB Jusqu’à 60% de patients apyrétiques dans des études avec moins de patients hospitalisés, température médiane = 37,75 à 38,3°C),
Toux (59 à 82%) habituellement sèche, dyspnée (31 à 55%), myalgies (11 à 44%), confusion (9%), céphalées (6 à 13%), maux de gorge (5 à 17%), rhinorrhée (4%), douleur thoracique (2%), diarrhée (3 à 10%), nausées vomissements (1 à 13%).
NB : Des formes avec symptomatologie digestive (notamment diarrhées), état confusionnel, chutes, initialement non fébriles sont souvent au premier plan chez les personnes âgées.
Devant la recrudescence d’anosmies brutales sans obstruction nasale, parfois isolées qui pourrait être en relation avec le Covid-19, il convient de :
- Toujours chercher ce symptôme devant un patient suspect de Covid-19 ;
- En présence d’une anosmie sans obstruction nasale et avec une agueusie, le diagnostic de Covid-19 est à considérer comme vraisemblable et ces patients doivent être de facto isolés ;
- Ne pas les traiter par corticoïdes inhalés ou per os et les lavages de nez sont décommandés, ils pourraient favoriser la dissémination virale ;
Personnes asymptomatiques
Des approches méthodologiques complexes ont estimé que la fraction des «infectés non répertoriés» (qui inclut des sujets asymptomatiques) serait de 86% (95% CI: [82%-90%]).
Sur les données du bateau de croisière Diamond Princess, le pourcentage de cas asymptomatiques a été estimé à 34,6% (95% IC : 29,4%-39,8%).
Sévérité
- Formes modérées = 81%
- Formes sévères = 14% (dyspnée, fréquence respiratoire ≥30/mn,
SaO2≤ 93%, PiO2 <300, et/ou infiltrat pulmonaire > 50% en 24-48h), - Formes critiques = 5% (SDRA, choc septique, et/ou défaillance multiviscérale)
Temps médian de guérison clinique
-
Deux semaines pour les formes peu sévères
-
3 à 6 semaines pour les formes graves
Retrouvez toutes ces informations sur le site Coronaclic – Plateforme mise en place par le CMG en lien avec le Ministère de la Santé
COVID-19 – Masques FFP2 – Communiqué N°8 – 20 mars 2020
L’évolution quotidienne de la situation épidémique nous oblige à multiplier nos envois réactualisés. Vous trouverez ci-dessous des informations les plus exhaustives possibles, à ce jour.
COVID-19 A partir du 17 mars 2020 à midi, pour 15 jours minimun, les déplacements sont interdits sauf exception – Communiqué N°7 – 17 mars 2020
Les chiffres En France, 7 730 cas de coronavirus COVID-19 déclarés au 17 mars 2020. Parmi ces 7 730 cas, 175 patients sont décédés. Les régions les plus touchées sont l’Ile-de-France (2 177 cas), le Grand-Est (1 820 cas), et la région Auvergne-Rhône-Alpes (710 cas). A partir du 17 mars 2020 à midi, pour 15 jours minimun, les déplacements sont interdits sauf exception. En Normandie, 174 cas de COVID-19 déclarés au 17 mars 2020.. Devant l’augmentation du nombre de cas, la recherche systématique de contacts est devenue inutile. Tester tous les patients présentant des symptômes conduirait à saturer la filière de dépistage. Seul le dépistage pour les cas graves et les structures collectives de personnes fragiles et les professionnels de santé permet de prendre des mesures immédiates. Le point régional n’a donc pas pu être actualisé.(Cf. Prélèvements COVID-19) |
COVID-19 – Le stade 3 est enclenché depuis le 14 mars 2020 – Communiqué N°6 – 15 mars 2020
Les chiffres
En France, 5 423 cas de coronavirus COVID-19 déclarés au 15 mars 2020. Parmi ces 5 423 cas, 127 patients sont décédés.
Les régions les plus touchées sont le Grand-Est (1 378 cas), l’Ile-de-France (1 209 cas) et la région Auvergne-Rhône-Alpes (523 cas). Le stade 3 est enclenché depuis le 14 mars 2020.
En Normandie, 143 cas de COVID-19 déclarés au 15 mars 2020, (57 dans le Calvados, 30 en Seine-Maritime, 28 dans la Manche, 25 dans l’Eure, 3 dans l’Orne). Parmi ces cas, 19 personnes sont hospitalisées et 1 patient est décédé le 6 mars.
COVID-19 – Recommandations aux médecins libéraux – Communiqué N°5 – 13 mars 2020
Les chiffres
En France, 3 661 cas de coronavirus COVID-19 déclarés au 13 mars 2020. Parmi ces 3 661 cas, 79 patients sont décédés.
Les régions les plus touchées sont le Grand-Est (699 cas), l’Ile-de-France (577 cas) et et Bourgogne-Franche-Comté (219 cas). Le stade 2 est renforcé dans les départements de l’Oise et du Haut-Rhin.
En Normandie, 68 cas de COVID-19 déclarés au 13 mars 2020, (10 dans la Manche, 20 dans le Calvados, 19 en Seine-Maritime, 17 dans l’Eure). 59 personnes sont prises en charge à domicile. Parmi ces 68 cas, 1 patient est décédé.
COVID-19 – Ce qu’il faut savoir – Communiqué N°4 – le 11 mars 2020
1 784 cas d’infection par le coronavirus COVID-19 ont été déclarés en France au 11 mars 2020.
Parmi ces 1 784 cas, 33 patients sont décédés.
Les régions les plus touchées sont le Grand-Est (464 cas), l’Ile de France (334 cas) et l’AURA (211 cas).
Le stade 2 est renforcé dans les départements de l’Oise et du Haut-Rhin.
En Normandie, 39 personnes ont été testées positives au COVID-19, (6 cas dans la Manche, 7 cas dans le Calvados, 15 cas en Seine-Maritime, 11 cas dans l’Eure).
35 personnes sont prises en charge à domicile.
COVID-19 – 577 cas d’infection par le COVID-19 dont 9 décès – Communiqué N°3 – 6 mars 2020
577 cas d’infection par le coronavirus COVID-19 ont été déclarés en France au 6 mars 2020. Parmi ces 577 cas, 9 patients sont décédés.
Téléchargez :
COVID-19 – 204 cas d’infection par le COVID-19 ont été déclarés en France au 3 mars – Communiqué N°2 – 3 mars 2020
204 cas d’infection par le coronavirus COVID-19 ont été déclarés en France au 3 mars.
Parmi ces 204 cas et 4 patients sont décédés.
Direction de le Santé Publique – Pôle Veille et sécurité sanitaire
L’épidémie de COVID-19 est entrée dans une nouvelle phase sur le territoire national. Le passage en stade 2 annoncé le samedi 29 février 2020 correspond à l’identification de plusieurs chaines de transmission sur le territoire national même si la situation est très évolutive et hétérogène. Cette situation conduit à une adaptation de la stratégie nationale de lutte contre l’épidémie.
La priorité est donnée à l’identification des chaines de transmission et à l’isolement des contacts afin de freiner la propagation du virus sur le territoire national. Ce message précise ces adaptations et reprend les consignes actuellement en vigueur.
COVID-19 – Personnes arrivant par vol direct ou indirect de Chine ou d’une zone où circule activement le virus – Communiqué N°1 – 28 février 2020
Concernant les informations à délivrer aux patients, les personnes arrivant par vol direct ou indirect de Chine ou d’une zone où circule activement le virus – Chine (Chine continentale, Hong-Kong, Macao) / Singapour / Corée du Sud / Lombardie, Vénétie, Emilie-Romagne (trois régions d’Italie) / Iran, doivent pendant 14 jours :
- Surveiller leur température 2 fois par jour
- Porter un masque chirurgical en présence de leur entourage et en dehors du domicile
- Réduire les activités non indispensables (cinéma, restaurant, soirées…) et la fréquentation de lieux où se trouvent des personnes fragiles (hôpitaux, maternités, établissements d’hébergement pour personnes âgées…)
- Se laver les mains régulièrement.